Qui es-tu ?
Je m'appelle Sébastien Viard. J'ai 42 ans et je vis près de Nantes avec ma femme et mes deux enfants. Ma carrière a commencé dans le domaine des douanes que n'ai jamais quittée. J'ai travaillé pour de grands prestataires de services logistiques comme Geodis et DB Schenker et j'ai géré différentes opérations douanières. En octobre de l'année dernière, j'ai rejoint Customs Support en tant que directeur général de Customs Support en France.
Que fait un directeur général ?
Évidemment, je dois m'assurer que mon équipe peut fonctionner de manière optimale. Je reste régulièrement en contact avec eux. Je préfère le téléphone à l'e-mail. On apprend tellement plus quand on parle aux gens au lieu de toujours envoyer des messages ou des e-mails. Je suis heureux que les outils informatiques permettant de travailler à distance se soient autant améliorés. C'est mieux de pouvoir voir la personne à qui tu parles.
Je dois avoir une vision claire de ce qui se passe dans tous les domaines clés de l'entreprise. Opérations, ressources humaines, finances. Je dois aussi garder un œil sur nos clients.
À quoi ressemble une journée typique ?
Je pense que j'ai encore besoin de vivre ma première journée typique. Le monde de la douane est très dynamique. Il se passe toujours quelque chose, il y a toujours quelque chose qui change. Notre activité est atypique, et c'est ce que j'aime tant.
Je passe une bonne partie de ma journée en réunion avec mon équipe, des clients et des collègues d'autres pays de Customs Support. Je travaille aussi sur des projets stratégiques pour développer et améliorer nos opérations en France.
Qu'est-ce qui te plaît le plus dans ton travail ?
Nous ne cessons de grandir et de nous adapter aux circonstances changeantes dans le domaine de la chaîne d'approvisionnement mondiale. C'est très stimulant, et j'aime les bons défis. S'adapter signifie aussi des changements dans l'organisation, et j'aime aussi gérer cela. Motiver mon équipe et lui permettre de traverser ces changements et de devenir encore plus efficace.
Quel est ton plus grand défi ?
Mon plus grand défi est le changement dont je parlais. Rejoindre Customs Support a considérablement augmenté nos capacités numériques dans nos opérations françaises, mais la mise en œuvre de l'innovation numérique nécessite des changements dans l'organisation. Les gens doivent s'habituer à de nouvelles façons de travailler, et certaines personnes s'adaptent mieux que d'autres. Réussir à transformer et à améliorer nos opérations est mon plus grand défi, mais je suis sûr que nous réussirons. J'ai une équipe formidable.
Que fais-tu quand tu n'es pas au bureau ?
Eh bien, en tant que Français, j'aime la bonne nourriture. Prendre un apéritif et un bon dîner avec mes amis ou ma famille est quelque chose que j'adore faire.
J'aime aussi être dans la nature. Nous vivons près de l'océan Atlantique, et j'adore me promener près de la côte avec ma famille. C'est tellement beau là-bas. La paix et le calme, l'environnement naturel et les rencontres avec les animaux. C'est l'opposé du monde trépidant du commerce mondial et des douanes. L'équilibre parfait.
Pourquoi Customs Support ?
Les connaissances et un service de qualité sont essentiels dans notre secteur, et faire partie de Customs Support nous permet de tirer parti des connaissances des experts et des spécialistes de notre organisation dans d'autres pays. Cela signifie que nous pouvons encore mieux servir nos clients. Les capacités numériques que j'ai mentionnées précédemment sont également un énorme avantage.
La dernière chose que je voudrais mentionner est la bienveillance dans l'organisation. Elle fait partie de l'organisation et n'est pas un gadget. On ne voit pas souvent cela dans les grandes entreprises. Je pense que c'est l'un des meilleurs éléments de la culture de Customs Support.